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  «Approchez. Entrez. Ne soyez pas effrayés. Débarrassez vous de vos craintes, de vos peurs, de vos problèmes. Ici vous pourrez vivre heureux, vous aurez accès à l'inaccessible, l’impossible devient possible. L'argent, la classe ne compte pas. Tout le monde est égal. Amusez vous. Profitez de ce petit paradis qu'est la ville d’Izanami.»

Une toute nouvelle ville présentée comme un Eldorado. Un Eden où les ressources ne s'épuisent jamais, où tout est facile d’accès. Personne ne manque de rien. Les paysages sont décrits comme magnifiques. Les immeubles hauts en couleurs. Il y a des fêtes. Il y a de la joie. Tout le monde est heureux. Les hommes, les femmes et ce peu importe leur milieu ont le droit d'y entrer pour profiter de la vie parfaite que leur offre Izanami.


Toute personne entrée au Paradis disparaîtra comme engloutie dans un tourbillon. Personne n’en ai encore sorti. De toute façon, qui voudrait sortir d’un Nirvana pareil ?


Les journées dans la ville d’Izanami sont toujours magnifiques, personne ne voudrait qu'elles aient une fin. Mais malheureusement, le soleil se couche bien trop tôt. Et la vérité que cache l’Eden se révèle aux yeux du petit monde.

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Un message fait chuter la ville dans le cauchemar. Survivre ou attendre sa punition. Il n'y a pas de meilleure option. La punition pourrait même être plus horrible que la mission à exécuter. Les habitants d’Inazami sont plongés dans l’horreur, et la crainte. La crainte que ce soir, ce soit à eux d’être sur le devant de la scène, de devenir les acteurs principaux du jour. Leurs âmes et leurs esprits sont sans cesse torturés. Le Roi est maître, il choisit qui il veut voir souffrir, et il rit de cette souffrance. Il se délecte de toute cette peur qui embrume la ville dès la nuit tombée et l’heure fatidique approchant. C’est un jeu pour lui. Un jeu qui ne risque pas de s'arrêter un jour. Personne ne peut stopper le Roi. Personne ne sait qui il est. Et personne ne sort de cet enfer déguisé. Personne ne peut quitter la partie. Tous sont piégés dans cet idylle artificiel. Même la plus grande et fidèle volonté de se dépêtrer de cet abîme ne serait pas assez pour s’enfuir d’Inazami.

HAPPY SUFFERING RPG

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